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17 janvier 2014 5 17 /01 /janvier /2014 10:12

Hello, all --
Today, I met a young man named Troy.
Troy comes from New Orleans, where his family lived through the devastation of Hurricane Katrina. He couldn't read until he was twelve, and would regularly cut school because the other students would tease him. When he did attend, he'd shove desks, start fights -- anything to get him out of class.
But then Troy saw his younger siblings start down a similar path. And he decided to make a change. He connected with his fifth-grade teacher, and enrolled in a program called the Urban League College Track. With the support of College Track and his teachers, he worked hard and made his way into high school -- and today, he's a sophomore at Bard College, studying American Literature.
There are a lot of kids like Troy out there -- kids with all the potential in the world -- but far too many of them are slipping through the cracks. They're not making their way to college -- maybe because their parents never went, or because they've never been encouraged to believe they could succeed there.
It's on all of us to help change that.
That's why today, Barack and I hosted college and university presidents, business leaders, philanthropists, and representatives from organizations around the country who are helping more of our kids see their potential and pursue their education. They're helping them navigate the financial aid and college admissions process. They're working with them to find schools that match their ability and interests. And they've made real, concrete commitments to help make college a reality for more kids.
And here's the thing: You don't have to be a university president or an executive to do that. There is something that each and every one of us can do in our communities to help make sure our kids realize their potential and make their way into higher education. That could mean having a conversation with a young neighbor or a relative, serving as a mentor, or volunteering at a local high school to help students fill out their college applications.
So I'm asking you today to make a commitment of your own -- and learn more about the commitments that universities and organizations from around the country are making, too.
I'm passionate about helping our young people because I see my story in theirs.
Neither of my parents graduated from college, but they always encouraged me to pursue my education and told me that college was possible. And I know that there are so many kids out there just like me: kids who have a world of potential but need some encouragement and support to make it through college.
That's why I was so inspired by some of the commitments I learned about today.
Universities are taking steps like helping underserved students with financial literacy, or finding innovative ways for academic advisors to better support students who could use a helping hand. And many colleges are working with organizations like the Posse Foundation to give kids the social and academic support they'll need to graduate.
These kinds of programs aren't just good for these young people. They're good for all of us. Because after everything these kids will have overcome to get to college -- and get through college -- they'll have all the skills they need to thrive in our businesses, and law firms, and labs. And that's not just good for them and their families, it's good for their communities and our country. That's why Barack is working every single day to expand opportunities to every single young person in America. And that's why we're working to rally the country around his "North Star" goal – that by 2020, America will once again have the highest proportion of college graduates in the world.
Reaching that goal begins with each of us doing our part as parents, students, educators, and citizens.
We can all help a young person realize his or her potential, so I hope you'll learn more about the commitments that organizations and schools around the country are making -- and then make a commitment of your own:
http://www.whitehouse.gov/share/college-opportunity
Thanks in advance for everything you will do on behalf of America's young people.
First Lady Michelle Obama

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6 janvier 2014 1 06 /01 /janvier /2014 21:44
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26 décembre 2013 4 26 /12 /décembre /2013 17:27

 

Une pétition de CHANGE.ORG
http://chn.ge/IGiLUS

 

Ces derniers mois, l'étendue de la surveillance de masse est devenue notoriété publique . De quelques clics de souris, l'État  peut accéder à votre portable, à votre adresse e-mail, à vos réseaux sociaux et à vos recherches sur Internet. Il peut suivre vos penchants et vos activités politiques et, en partenariat avec des sociétés de l'Internet, il recueille et stocke vos données et il peut donc prédire votre consommation et vos comportements.
Le pilier fondamental de la démocratie est l'intégrité inviolable de l'individu. L'intégrité humaine s'étend bien au-delà du corps physique.  Dans leurs pensées et dans leurs environnements personnels et de communication, tous les êtres humains ont le droit à une intimité sans encombre.
Ce droit fondamental est rendu caduc par l'abus de l'évolution technologique par les États et par les sociétés organisées à des fins de surveillance de masse.
Une personne placée sous surveillance n'est plus libre;  une société sous surveillance n'est plus une démocratie.  Pour rester valides, nos droits démocratiques doivent s'appliquer aussi bien dans le virtuel que dans le concret.
* La surveillance viole la sphère privée et compromet la liberté de pensée et d'opinion.
* La surveillance des masses traite chaque citoyen comme un suspect potentiel.  Elle remet en question un de nos triomphes historiques : celui de la présomption d'innocence .
* La surveillance rend l'individu transparent, tandis que l'État et la société fonctionnent dans le secret. Comme nous l'avons vu, ce pouvoir est systématiquement abusif .
* La surveillance est un vol.  Ces données ne sont pas un bien public : elles nous appartiennent.  Quand elles sont utilisées pour prédire notre comportement, nous sommes spoliés d’autre chose : du principe de la libre volonté, essentiel à la liberté démocratique .
NOUS EXIGEONS LE DROIT pour tous les peuples à déterminer, comme citoyens démocratiques, dans quelle mesure leurs données personnelles peuvent être légalement collectées, stockées et traitées et par qui;  d'obtenir des informations sur l'endroit où leurs données sont stockées et comment elles sont utilisées;  d’obtenir la suppression de leurs données si elles ont été illégalement recueillies et stockées.
NOUS APPELONS TOUS LES ÉTATS ET SOCIÉTÉS à respecter ces droits.
NOUS APPELONS TOUS LES CITOYENS à se lever en défense de ces droits.
NOUS APPELONS LES NATIONS UNIES à reconnaître l'importance centrale de la protection des droits civils de l'ère numérique et de créer une Charte internationale des droits numériques.
NOUS APPELONS LES GOUVERNEMENTS à signer et à adhérer à une telle convention. .
 
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15 décembre 2013 7 15 /12 /décembre /2013 18:35
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14 décembre 2013 6 14 /12 /décembre /2013 20:20

Les Chemins de l'Aurore (roman I) - Pacifico (roman II suite du I)- Tangakamanu (poèmes) - Contradictions d'une Civilisation (essai) - Au nom de l'Amour (échange virtuel) - Courte Biographie de Gumersindo Garcia (nouvelles) - Journal d'un Survivant Clandestin (30 articles) - Pas de Panique chez les Pélicans du Dakota (poèmes)

  

Savez-vous ce que sont des rebelles homéostasiques ? Ce sont des personnes, enfants, adolescents, adultes, filles ou garçons, pour qui la promesse de vivre libres aura toujours été vaine : ils ont été tellement manipulés et pompés qu'ils sont devenus d'éternels rebelles …mais tellement conditionnés, trompés et battus, tellement violés mentalement et physiquement, donc prisonniers, qu'ils ne pourront jamais se dégager des fers qui enserrent leur intime volonté, leurs réflexes, leur subconscient. (vk) 

 

« Tout se passe comme si la réaction homéostasique n’était qu’un moyen journalier de conservation de notre liberté, efficace contre les variations banales et de faible amplitude du milieu extérieur. Dès que l’organisme est l’objet d’agressions graves et, de ce fait, exceptionnelles, les mécanismes d’homéostasie, les seuls qu’il soit actuellement capable d’utiliser, deviennent inopérants ou fonctionnent de façon déréglée.

« Nous avons choisi la liberté journalière au prix d’un risque plus grand : l’Homme (les humains – ndlr) vit dangereusement. Nous sommes libres mais dans la prison de nos possibilités réactionnelles alors que les êtres inférieurs sont esclaves du monde, à des degrés divers, suivant le degré-même de leur évolution.

« En ce qui nous concerne, on a pu même dire que nous n’étions que des homéothermes dégénérés : nous perdons en effet de plus en plus nos possibilités réactionnelles car notre  intelligence nous fournit les moyens d’éloigner de nous certaines de ces agressions. Nous savons de moins en moins réagir, par exemple au froid, à la fatigue musculaire, au traumatisme, à la douleur, …, car nous avons imaginé pour nous en protéger, le vêtement et le chauffage, les moyens de locomotion, les analgésiques…

« Nous pensons qu’il est indispensable, dans l’étude des réactions de l’organisme humain à l’agression, de toujours avoir présentes à l’esprit ces notions : elles nous permettent de le situer par rapport au milieu et à sa place dans l’échelle animale et de comprendre les données cliniques et physio-biologiques, aussi bien que les conclusions thérapeutiques concernant les états de choc. »

(Henri Laborit – 1952 – Réaction organique à l’agression et choc)   

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19 août 2013 1 19 /08 /août /2013 17:23

COURTE-BIO.png

 

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1 février 2010 1 01 /02 /février /2010 18:41
"Je vous soutiens à 100%, je me bats depuis plusieurs années en tant que médecin et psychiatre victimologue pour qu'il y ait enfin un enseignement sur les violences et leurs conséquences pendant les études de médecine et pendant la spécialisation en psychiatrie, particulièrement pour les violences familiales et les violences sexuelles qui sont à l'origine dans 60 à 80% des cas de psychotraumatismes. Le corps médical abandonne les victimes d'inceste sans protection (puisqu'ils ne les identifient pas) et sans soins spécifiques, j'essaie de former un maximum de professionnels, mais je suis peu soutenue (voire pas du tout) par l'université et le conseil de l'ordre. En s'unissant toutes et tous, en ne lâchant pas la pression sur les politiques, en médiatisant le plus possible les chiffres sur les violences, leurs impacts, les connaissances en psychotraumatologie. Je passe à France 2 le 9 février sur la résilience. Nous devrions finir par avoir gain de cause ! Avec toutes mes amitiés, mes encouragements et mon admiration pour votre détermination."
Muriel SALMONA.

L'association de Muriel SALMONA a pour mission la prévention des violences, la participation aux recherches sur les mécanismes et les conséquences psychotraumatiques des violences, ainsi que la formation et l'information des publics concernés.

Fondatrice et Présidente : Dr Muriel Salmona, psychiatre - psychothérapeute, médecin-coordinateur responsable de l'Antenne 92 de l'Institut de Victimologie

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16 mars 2009 1 16 /03 /mars /2009 23:51
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9 septembre 2007 7 09 /09 /septembre /2007 18:19

CONFESSIONS

 

 

 

"Dans des verts foncés,  d'autres plus clairs ou plus pâles, les branches se démêlent et se débattent parmi la multitude des arbres qui occupent la place.  De ma fenêtre,  ils sont comme des vagues mouvantes,  inondantes,  incontrolées : il y a des pins,  des saules,  des platanes;  ils se dressent,  s'érigent ou se rabattent.  Ils me rappellent des femmes,  des moments,  des bonheurs,  ils me rappellent leur mouvement,  leurs jupes,  leurs cheveux.  Je me souviens que j'ai été avec elles,  que je les ai touchées,  que je voulais être sincère,  qu'elles pouvaient êtres belles.  J'avais des illusions.  J'ai compris qu'elles aussi avaient eu des illusions.  Les illusions n'étaient pas des illusions de bonheur égoïste.  Ni les miennes, ni les leurs.  Ce sont des illusions du devoir accompli et des choses qui auraient été comme elles devaient,  comme disait ma mère,  Maman.  Les illusions,  la désillusion du fruit que l'on attend du travail accompli mais qui ne termine jamais,  toujours à recommencer,  quand le prix de ce travail jamais n'arrive comme on l'espère,  qu’il se fait attendre,  désirer,  tant qu'il faut de soi-même aller le chercher,  le rechercher,  le poursuivre avec amertume,  tant d'amertume que le prix perd toute récompense s'il arrive,  sans saveur,  sans la saveur espérée,  avec une autre saveur,  celle de la frustration,  de l'injustice,  de la tromperie et cela… s'il arrive !  Sinon,  c'est la révolte intime,  la conviction que quelque part quelqu'un a menti.

 

 

 

 

 

  Mais je parle de la désillusion de l'idéal,  je parle du monde,  de la planète des hommes !  Parler de la révolution,  de celle que tous et toutes nous pouvions espérer;  celle des hommes justes dans un monde meilleur,  celle de l'effort et du sacrifice pour la reconstruction,  celle de l'œuvre de l'homme et de la femme,  rois de l'univers,  prolongeant le travail de la création.  Et celle de l'amour,  repos du guerrier et de la guerrière insouciants du confort social et de la commodité bourgeoise.  Celle de l'amour dépassant,  surmontant les pièges et les craintes,  amour décidé et enraciné dans la volonté de refaire le monde !  Voilà le mensonge.  Voilà le but.  Gratuité de l'amour ou de l'immaturité bloquée sur l'espoir : la haine.  Quelle volonté de dépassement et d'entendement est-il nécessaire de démontrer pour cela ?  Et si nous ne sommes que des hommes,  pourquoi nous en bercer si longtemps et torturer nos enfants de nos rêves déçus ?   Qu'est-il advenu de mes illusions ?  Où et quand ai-je perdu et pourquoi ?  De cette chambre où mon infirmité nouvelle m'a cloué,  piégé dans un monde de robots où je ne suis même plus un être humain,  sans droit ni même à la parole,  est-ce cela mon destin ?  Suis-je déjà une branche morte sur le chemin ?

 

 

 

 

 

  Jour après jour,  entre mon travail et la gymnastique,  je rumine sur notre rôle,  je cherche,  entre les hommes,  l'image reflétée de leur victoire: je les vois riches,  je me vois pauvre.  Là sont leurs maisons,  leurs voitures,  leurs villas,  leurs jardins.  Est-ce là,  cette victoire ambitionnée ?  La catégorie sociale ?  La vie citadine,  les affaires,  le grand commerce,  son inévitable corruption,  les intérêts provoqués par l'argent et son pouvoir ?  Une heure par semaine à la piscine et la partie de golf ?  Est-ce cela,  notre combat ?  Luttons-nous vraiment pour la création d'emplois ?  Pour assurer le pain à nos enfants,  leur formation et leurs idéaux de demain ?  N'acceptons-nous pas le jeu absurde du capitalisme trop vite sauvage avec toutes les amertumes que cela nous rapporte ?  N'existe-t-il que la dialectique de la marginalisation ?  Sommes-nous vraiment tous condamnés à la vieillesse ingrate,  au déssèchement du fruit ?  Ou sommes-nous capables d'autre chose,  de cet idéal justement dont ils berçaient nos enfances ?  Évolution et maturité au prix de notre orgueil et de la simplicité..."

Les Chemins de l'Aurore,  p 26

 

 

 

 

 

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29 juillet 2007 7 29 /07 /juillet /2007 13:06

El desorden familial engendra mucha angustia y dificultades para situarse en los lazos filiales; así pues, también, en nuestras referencias hacia la identificación propia, en los sentimientos generados por el fracaso o por nuestra inadaptación social.
Aquel desorden familial también genera inseguridad, rencores, cinismo y hasta odio hacia la madre o hacia el padre que vimos dimitir o que no haya sabido mantener su lugar en la celula familiar...

(traducido de Christine Vander Borght in « Miser sur la compétence parentale ».)

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